| | | « Le loup et le lièvre... ♪ [Libre] |  |
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« Drathir Linath Messages : 14
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» Relations : |  Sujet: « Le loup et le lièvre... ♪ [Libre] ![« Le loup et le lièvre... ♪ [Libre] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mar 20 Juil - 12:42 | |
| « Petite, j’ai cru au prince charmant. J’ai cru en l’amour pur et sincère.
Désormais, je sais que les crapauds ne se transforment pas. Et l’amour n’est qu’éphémère… »Your love is just a lie… Un sourire amusé qui orne un visage pâle. Ironie. Mesquinerie. Et sûrement un certain sadisme, qui sait. Tous ces sentiments mauvais, malsains, qui enchantent la demoiselle. Demoiselle qui admire une jeune femme au coin de la rue, celle-ci étant en train d’embrasser avec passion un homme. Qui se trouve être différent que celui de la veille. Ah l’amour. La tromperie. L’adultère. Comment peut-on encore venir se vanter de vingt ans de mariage ? De trois enfants qui devraient servir de pilier à un amour qu’on espère sans fin. Sans déchirure. Et c’est dans son coin, autrement dit assise sur un banc, que Drathir rit de la femme au coin de la rue. Celle-ci jette un coup d’œil à son portable, embrasse une dernière fois son amant, et s’enfuit en courant pour prendre un taxi. Et voila. Ce petit moment de bonheur prend fin, et le sourire de la lycan s’efface lentement, laissant de nouveau place à un visage renfermé, forgé dans le marbre ou la glace. Au choix. Ce fut dans un soupir que la donzelle s’étira avec paresse, toujours assise sur son banc, en plein milieu, toisant les gens avec une telle insistance que jamais l’idée de s’asseoir à coté d’elle ne les auraient effleurés. Ce qui était une très bonne chose.
Et de nouveau un soupir, de bien être. C’était une très belle journée, et c’était le jour où la demoiselle était le plus tranquille. Car les gros méchants vampires ne venaient pas l’emmerder. Ça ne devait pas être drôle de ne sortir que la nuit. Elle, au moins, elle était libre. Entièrement libre. Faire ce que l’on veut, quand on veut. Sans se soucier des conséquences car personne ne peut vous dire quoi que se soit. Il est si facile de tuer, surtout dans sa condition de loup garou. La vie était si simple… sauf cinq jours par mois, mais bon, cela en vaut la peine aux yeux de la donzelle. Donzelle qui finit par se relever, ne trouvant plus aucune distraction dans la ville. Elle décida de partir. Elle sortit de Londres, tranquillement, marchand d’un pas rapide et décidé. Comme à chaque fois, elle savait où elle allait.
Elle parvint en dehors de la ville, et ce ne fut qu’a ce moment là, sans se soucier si un paparazzi l’avait suivit, qu’elle devint loup. Magnifique louve noire, une épaisse fourrure d’ébène dont les poils s’emmêlés sous les caresses doucereuses du vent. Ce qu’elle aimait cette sensation. Ce qu’elle aimait sa forme animale. Ce qu’elle aimait cette sensation de force, de puissance, de liberté et de sauvagerie. Comme si tout était permis, sans devoir rendre des comptes. Bref. Sans un mot, le magnifique animal s’élança en un bond souple et puissant. La louve courrait, galopait à vive allure, un sourire lupin aux lèvres, témoin d’une satisfaction grandissante. Il s’agissait là de son plus grand plaisir, cent fois supérieur à celui de la vision d’une femme et de son amant. C’était SON plaisir. Personnel. Intime même.
Et la course se poursuivait, les membres puissants de la lycan se posant souplement sur le sol, effleurant l’herbe avant de la propulser de nouveau dans les airs. Liberté. Liberté et nature, car désormais hors de Londres, Drathir avait l’intention de se rendre dans la prairie qui se trouvait plus loin. Et plus précisément elle voulait voir le saule pleureur. Car elle aimait voir ces longues branches semblables à des lianes. Des lianes qui effleuraient son dos quand elle passait dessous. Elle écoutait et s’imprégner des larmes de l’arbre. Mais bon, il fallait d’abord qu’elle arrive jusqu'à l’arbre en question. Ce qui ne tarda pas à arriver. La vitesse et l’endurance de la louve eurent bien vite raison des kilomètres qui la séparait de son but. Alors bien vite, elle contempla le saule en silence. Toujours en silence.
Drathir resta sous forme animal, vous avez désormais compris qu’elle était à l’aise avec cette partie d’elle même. Et ce fut toujours sans un mot qu’elle se glissa sous les étranges branches de l’arbre, laissant les feuilles lui effleurer l’échine, la faisant légèrement frissonner. Elle aimait la nouveauté, mais aussi certaines choses simples. Comme le contact délicat. Tant que ce n’était pas avec des humains, enfin des bipèdes quoi, qu’ils soient loups garous ou vampires ou juste des innocents. Et alors que la donzelle était tranquille, apaisée, sa tranquillité fut troublée par une branche qui se brise. Ou plutôt que L’ON brise. Vu que cette cassure n’avait rien de naturel.
Les oreilles dressées, en alerte, la demoiselle tourna la tête, ses prunelles vertes froides comme la mort. Elle s’était trop oubliée, elle n’avait plus prêté attention aux alentours. Une erreur. Ce qui l’agaçait profondément, la mettant de mauvaise humeur. Un grondement sourd et puissant remonta le long de sa gorge, lui échappant, passant le barrage de ses crocs d’ivoires. Crocs qu’elle dévoila l’espace de quelque secondes, tout en se tournant vers la source du bruit. Elle attendait. Si le lièvre ne se montrait pas, elle irait le chercher… et par la peau du cou. Ou de la nuque, une fois celle-ci brisée… |
| | | | Jonny Hyth Messages : 120
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| - Fraiche journée, sous un été lourd dans l'ensemble on avait enfin le droit a une journée douce bercé d'un vent frais. Je n'ai rien contre la chaleur mais quand elle est abusive sa en devient insupportable et je pense ne pas être le seul a le pencher, de toute façon que se soit le chaud ou le froid, chaque extrême n'est pas agréable du tout bien que nous lycéen étions prédisposer a supporter l'épreuve du grand froid de manière génétique, le chaud au contraire était moins notre fort d'ou l'agréable de ce jour qui m'encourageait même a dormir un peu plus poussant ma grâce matinée jusqu'à 13H passé. Mais bon tous savent qu'il ne faut pas abuser des bonnes choses sous peine de s'en lasser.
Une fois levé, je ne pu m'empêcher de passer quelques longues minutes a la fenêtre de mon appart' a regarder en bas dans la rue tout ses humains grouillant sur les routes et les trottoirs tel une véritable fourmilière. Boulot, maison, dodo, un quotidien don tous s'accommode avec une soumission déconcertante. Moi je ne peux pas, vivre comme ça, faire comme eux, cela m'est impossible car j'en péterais que trop vite mon câble… Mais malheureusement pour vivre dans ce monde, cette société que nous même avons érigé sur le temps et l'argent, nos deux plus sadique créations, il fallait que moi aussi je gagne mon pain afin de pouvoir au moins dormir dans un lit qui serait mien. La seul différence, c'est que travail entrait dans une catégorie sombre de cette société, un job considérer ici comme illégal, mais ce n'est pas pour autant que je m'en plaignais, non, j'avais au moins le travail le plus instable et peu commun des lieux, la routine je ne connaissais donc pas car chaque nuit était différente, et oui la au moins je travaillais a des horaires se mêlant parfaitement avec mon mode de vie. Enfin, je n'allais pas perdre mon après midi a penser a des choses et d'autres, il fallait que je bouge, que j'aille faire un tour afin de défouler mes muscles qui me criaient au secours.
C'est donc après une bonne douche et m'être habillé que je couru prendre ma moto afin de faire un tour. Je ne savais pas trop ou aller exactement mais rester trop longtemps en ville me donnais simplement la nausée, c'est donc en dehors de Londres que j'avais décider d'aller prendre un bon bol d'air frais. Après quelques kilomètre, alors que j'arrivais en direction de la prairie, je stoppa la machine en me garant sur le côté le long d'une barrière. Je posais mon casque tout en retirant ma veste en cuir afin de me retrouver simplement en t-shirt et libre de tout mouvement. Tout en gardant le silence je marchais dans l'herbe semi haute et douce qui dansait au rythme du vent doux. La nature…. Il n'y avait vraiment rien de plus beau en ce monde et l'homme passait son temps a la détruire, cette pensée me revenait a chaque fois que je posais mes pieds en un lieu pure et c'était bien triste. Mais bon, un instant passa avant de me mettre a scruter les alentours, il n'y avait personne et cela me donna une idée qui me fit sourire d'un automatisme inévitable.
Pourquoi pas profiter du coin pour une petite transformation ? Mais ouiiii ! Comment s'en empêcher après tout ? l'endroit était tout simplement propice a ça et il fallait que je me défoule un bon coup ! C'est alors que je commençais a courir que je pris dans un saut ma forme loup, ce grand loup d'un noir profond et sans fin au regard d'un jaune si clair qu'il en était presque blanc cassé par la lumière. Ma course après cela n'en devint que plus frénétique et rapide, je remplissait d''air mes poumons alors que les herbes venaient frapper mon museau humide et frétillant. Cela me faisais un bien fou, j'en avais bien besoin il fallait le reconnaitre… Après quelque instants de course je fini par apercevoir au loin un magnifique Saule aux allures centenaires, y faire un tour était donc obligé pour observer la beauté de l'arbre de plus près et pourquoi pas se poser en son imposant pied.
Cela ne me pris que quelques secondes pour rejoindre le maitre des lieux alors que ma course ralentit d'un coup lorsque monta a mon museau une odeur familière… Un congénère était déjà sur place et une fois que je passe sous les premières branches, cela se confirma quand j'aperçus cette louve d'un pelages semblable au miens, m'ayant entendu et/ou sentit elle était fortement sur ses gardes et abordait un comportement irrité. J'allais donc devoir la prendre avec des pincettes. C'est donc d'une attitude passive que je m'approchais un peu plus près avant d'aborder un semblant de salutation :
- Oh, salut ! Je ne savais pas que l'endroit était déjà pris d'assaut. J'espère que je ne dérange pas, et… désolé si je t'ai fais peur ou du moins surprise.
Peut-être que je tombais mal ou autre en tout cas, ça s'annonçait délicat pour le moment. Enfin sa restait une chance d'être tomber sur... une congénère dans un lieu pareil qui plus est n'est pas du tout notre territoire, sans le montrer j'en restais surpris d'une telle rencontre, j'allais bien voir se que sa allait donner.
Dernière édition par Jonny Hyth le Mar 20 Juil - 21:24, édité 2 fois |
| | | | « Drathir LinathMessages : 14
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| Sur ses gardes. Oui. Prudente, la demoiselle s’est aussitôt mis en posture de défense, prête à bondir et mordre au moins geste de la part de l’inconnu qui n’osait se montrer. Lâche va. Ce ne fut qu’au bout de quelques secondes, que le vent daigna lui apporter une odeur. Celle d’un congénère. Un loup garou. Cela ne calma en rien la louve noire qui, toujours de mauvaise humeur, n’appréciait pas qu’on vienne ainsi la déranger dans ces rares moment de solitude. Certes la rencontre aurait pu être moins agréable, tombé sur un demi vampire l’aurait plongé dans une colère froide et méthodique. Et elle aurait probablement déjà attaqué. Ou non… elle aurait attaqué à coup sûr. Mais là c’était un poil différent, il s’agissait d’un lycan, hors elle n’attaquait pas ceux qui avait les même gènes qu’elle. Même si elle ne ferait rien pour paraître agréable pour autant. Bref. Silence.
Et ce fut à ce moment là que le loup garou fit son apparition, s’approchant prudemment sous sa forme de lupin. Un loup noir. Tss. Comme si ça pouvait lui apporter de la prestance, à lui. Après tout, c’est bien connu, tout est mieux sur elle, cela valait aussi pour la couleur du pelage. Mais bon. Un sourire ironique se dessina doucement sur le visage de la louve qui se détendit. Il n’y avait plus de danger. Elle ne le craignait pas, loin de là. Les prunelles vertes de la belle donnaient l’impression d’un serpent qui, précédemment enroulé sur lui-même, se redressait lentement, dardant sa langue fourchue vers l’adversaire. En guise de menace. Une menace muette, en guise d’avertissement silencieux. Ne reste pas là. Tu le regretterais. Oh non elle ne te touchera pas, seulement comme beaucoup d’autres tu finiras par te vexer. Que se soit à cause du fait qu’elle n’a rien d’agréable, contrairement à ce que l’on pense, ou alors parce qu’elle aura osé offenser ta petite personne. Mais bon, il était de toute manière inutile d’attendre autre chose qu’elle. Et ce fut à ce moment que le mâle prit la parole, platement, doucement. Comme pour se pardonner de son intrusion. Tsss. Ça c’était bien un truc humain, oh je suis chez toi excuse moi. Mais on reste quand même. Ça la fait bien rire toutes ces histoires. Enfin bref. Quoi qu’il en soit la réplique de Drathir ne tarda pas à venir, avec cette voix ironique, amusée. Comme si elle se foutait constamment de votre gueule.
« Bonjour. Maintenant tu sais. Et oui tu déranges, cependant cela ne t’empêcheras pas de rester pour des raisons sûrement excellente. Non je n’ai pas eu peur mais peut être que toi tu devrais. Après tout, qui sait ? »
Ce fut à ce moment précis que le corps de la louve noire sembla se flouter, devenir brume, pour finalement prendre l’apparence d’une femme. Une belle femme… Enfin c’est une question de goût. Garçon manqué dans un sens, une musculature plus forte que celle des autres femmes dû à sa condition de loup garou. Des formes qui n’ont rien d’imposant. Cependant le visage est doté d’une perfection amusante. Perfection brisée par le masque de froideur qu’elle porte. Le sourire de la demoiselle était toujours là, suffisant. Sa longue chevelure blonde parsemé de mèches aux teintes diverses, était emmêlée par le vent, apportant une touche sauvage à cette silhouette déjà animale. Ça plait. Ou ça ne plait pas. Aucune demi-mesure possible. Bref, passons. Le sourire de la demoiselle finit par s’estomper, aussi soudainement qu’il était apparut. Et la voix de la donzelle raisonna de nouveau, plus froide que précédemment.
« La case départ c’est plus loin… »
Les mains de la demoiselle se glissèrent dans les poches de son jean, en un reflexe immédiat. Toisant une dernière fois le mâle, le serpent de ses yeux avait craché puis s’était rendormit, comme si rien ne s’était passé. Parce que personne ne méritait la haine de la belle, Drathir se contentant d’offrir des sentiments passagers. Pour ensuite se détourner. Et c’est ce qu’elle fit. Sans un mot de plus elle se détourna du loup et s’éloigna tranquillement, afin de ne plus être en vue. Cependant elle n’était pas sotte, et prête à se transformer soudainement pour riposter si jamais ce mec avait la stupide envie de lui sauter dessus.
Fait gaffe mon beau… On ne joue pas impunément avec le feu.
On finit toujours par se brûler ♪ |
| | | | Jonny HythMessages : 120
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| - Elle perdit vite sa posture de garde afin de prendre un ton plus simple mais tout aussi provocateur car ses grognements avaient laissés place a une sourire bien ironique voir moqueur. Je ne sais pas pourquoi mais celle la je la sentais d'un tempérament fougueux, le genre de nana se sentant plus grande que nous tous nains ! Ces filles qui se croient tout simplement supérieur et tout permis. Enfin les filles comme je les aime… pas… Mais je ne comptais pas faire demi tour pour autant, j'avais tenté la "politesse" tout en restant humble alors pourquoi pas changer de méthode ? Après tout, tout allait dépendre de sa réponse, qui d'ailleurs ne se fit pas attendre très longtemps :
« Bonjour. Maintenant tu sais. Et oui tu déranges, cependant cela ne t’empêcheras pas de rester pour des raisons sûrement excellente. Non je n’ai pas eu peur mais peut être que toi tu devrais. Après tout, qui sait ? »
Ah… Il y avait tout de même un "bonjour" dans sa phrase, ce qui reste un semblant de politesse mais bon le reste de ses mots étaient clair, oui je l'importunait la pauvre, en voilà qui avait tout les traits typique de la solitaire sarcastique. Deux solutions s'offraient donc a moi, faire mon "gentil " et lui laisser la place en restant "polie" ou faire comme a mon habitude… Être un vrai chieur ! Se que j'aimais tout particulièrement avec ce genre de fille, les taquiner étant un plaisir des plus distractif. Hum dur dur, moi qui étais venu me détendre.. Quoi que ! Mon but premier était tout de même de me défouler donc hum…
Enfin le temps d'y penser tout en la regardant d'un air indescriptible et neutre, elle reprenait alors sa forme humaine et quelle surprise ! Une blonde. Ba pour moi je me serais plutôt attendu a une brune ou carrément les cheveux noir mais pas une blonde. Seul son regard montrait bien que c'était elle car lui gardait ce même ton suffisant et haut placé surtout après avoir repris cette forme, cet air la n'en était accentué. Mais bon passons, elle était mignonne fallait l'avoué, un jolie teint s'accouplant parfaitement a un regard clair et perçant lui accentué par un maquillage sombre et bien fait. Une longue chevelure blonde méchée volant au vent, belle gueule mais salle tempérament. Quand j'y pense c'est bien souvent comme ça, d'ailleurs je ne sais plus trop qui m'avait sorti que << les plus belles roses avaient également les plus dangereuse épines >> se que j'approuvais parfaitement. C'est la qu'elle enchaina alors sa phrase en posant ses mains dans ses poches avant de me tourner le dos et marcher afin de s'éloigner :
« La case départ c’est plus loin… »
A l'entendre me sortir ça, je ne pu m'empêcher de rire ouvertement en reprenant a mon tour forme humaine tout en m'étirant un bon coup avant de passer mes main dans mes cheveux et de lui répondre de manière simple mais quelques peu effronté en souriant, voir riant un peu au passage :
- Ok hehe, je vois qu'il y en a qui se sont levés du pied gauche ce matin. Oh et tu as tors je ne comptais pas rester car j'étais seulement de passage, avant de parler de manière si sur de toi, peut-être que tu te renseignera avant de le certifier la prochaine fois.
Je m'adossais a l'arbre tout en croisant les bras et la regarda partir je ne sais trop ou pour je ne sais quelle raison, mais s'était assez amusant de la voir tenter une sortie fière et dominante comme ça, c'était bien un truc de ana d'agir ainsi, on pourrait dire que sa me fascinait et voir sa m'amusais toujours autant.
- A la prochaine hein !!! Lui criais-je ironiquement.
Ba quoi ? Pourquoi pas en rajouter une petite couche pendant que j'y étais ? Après tout c'est elle qui l'avait cherchée. Je ne comptais pas m'écraser et encore moins faire le Paon devant elle. Quand j'aurais fini de prendre mon bol d'air je partirais a mon tour d'ici comme il se doit, surtout que les proprio des lieux pouvaient débarquer a tout moment, mais qu'importe a l'instant présent, c'était bien le cadet de mes soucis !
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