Love is something that makes you smile whenever they are there, it makes you happy and gives you the feeling of contentment. It's about giving without wanting to get anything back. That's the most basic way of explaining it, when you get pleasure from giving yourself and your time to another person, expressing things and expressing another side to you that no one else knows. It's when you can talk about anything, like your worst fears - you can be truly open in a way that you can't be with anyone else



Que sommes nous quand le ciel bas pèse comme un couvercles ? Il nous verse un jour noir et plus triste que les nuits ; quand la Terre est changée en un cachot humide où l'espérance, comme une chauve-souris , s'en va battant les murs de son aile timide et se cognant la tête a des plafonds pourris ; quand la pluie, étalant ses immenses traînées, d'une vaste prison imite les barreaux et qu'un peuple muet d'infâmes araignées viens tendre ses filets au fond de nos cerveaux , quand des cloches tout a coup sautent avec furie et lancent vers le ciel un affreux hurlement, et quand de longs corbillars , sans tambours ni musique , défilent lentement dans notre âme; l'espoir vaincu, pleure et l'angoisse atroce, despotique , sur mon crâne plante son drapeau noir .

Et moi qui voulais juste être toi, être comme toi. Mais que dis-je encore.

Une utopie.
Le ciel était bleu au dessus de ma tête. L'air était frais, pur, agréable. J'étais ailleurs que sur les Terres Obscures, ailleurs que sur les Terres Lumineuses. J'étais dans un endroit où la verdure n'avait pas de limite. Le ciel était d'un bleu pur et même mes vêtements miteux par rapport à celui du céleste. J'étais heureux ; je souriais et je me me sentais bien. L'air pur que je respirais semblait nettoyer mes poumons encrassés par la violence. Je marchais, lentement, flottant à demi dans cette utopie. Mon regard ne cessait de fixer ce magnifique ciel. L'herbe, que mes pieds écrasaient, était fraîche et humide. Je devait me situer dans un temps inexistant proche de la matinée.
Je marchais. Tranquillement.
Puis je me mis à courir comme si le Diable me courrait après. Mais ce n'était point le cas. C'était moi qui courrait après un lapin blanc que je venais d'apercevoir. Petite boule de poil qui me fuyait. Mais j'avais nullement l'intention de le dévorer. Bien au contraire. C'était un jeu. J'avais envie de le courser. Voir sa vitesse, sa capacité à tenir face à un potentiel ennemi. Et s'il me guidait vers un lieu encore plus féérique que celui-ci ?
Je me hâtais.
Puis tomba.
Les parois était larges autour de moi. Je venais de tomber dans un trou. Perdu dans mes pensées et mes espoirs, je ne l'avais pas vu. Plus je descendais, plus je dégringolais, et plus je m'approchais d'un petit point blanc qui tombait lui aussi.
Le lapin.
Un fin sourire s'esquissa sur mon visage. J'avais suivit ce lapin jusque là. Et nous tombions dans un monde merveilleux. Nous tombions jusqu'aux entrailles du Paradis. Ensemble. Comme chien et chat, avec la confiance, le partage, la paix, en plus.


La sensation du prédateur, le rêve d'un être mal, bien mal.


Comment te décrire au travers de mes souvenirs, Oh mon ami, que tu me manque, que ta chaleur me manque, que ta joie me manque. Je suis si seul et pourtant je suis à la tête d'un clan, j'ai le sentiment qu'en faisant cela je t'ai trahie une deuxième fois mais que voulez-vous, on ne choisit pas toujours. Je pensais que tout serai plus simple une fois le temps passé oublié mais en réalité tout est de plus en plus complexe, au delà des préjugées qui me concernes beaucoups de personnes me tounent le dos mais heureusement beaucoup me sont fidèles. J'aime et je déteste ce sentiment à la fois, je suis libre et je hais les ordres pouratnt je suis aujourd'hui forcée de faire attention à mes paroles et à mes actes, je n'aime vraiment pas cela, on dirai que je limité dans ma vie, et des limites je ne m'en suis jamais donné, je dois maintenant faire un choix, les autres ou moi. Comment dire, c'est un choix totalement impossible et je ne peut prendre une décision seule pourtant personne n'est là pour m'aider, j'ai beau regarder à droite, à gauche, devant et dérière aucun être capable de me comprendre, que des gens là pour me juger et pour me regarder d'un mauvais oeil. J'ai souvent cherché à comprendre maintenant je ne réfléchit même plus, je fonce, c'est une solution plutôt radicale mais c'est la seule qui est valable dans ma situation. Je veux juste vivre ma vie comme bon me semble mais cela est malheureusement un rêve, un rêve qui ne deviendra jamais une réalité. Je voudrai simplement revenir en arrière et réparé toutes mes erreurs, ce serai un dur labeur mais peu m'importe, aujourd'hui je regrette, je regrette pour la première fois de ma vie. Le regret, un sentiment jusque là inconnue par mon esprit, une sensation tellement étrange et déroutante, une nouvelle vision de la vie habite désormais mon âme, une vision bien plus sombre et bien moins naive, une nouvelle vie, entouré de personnes qui me verrons différente mais véritablement moi, pas une pâle copie de mon caractère, je ne me cache plus, je suis ce que je suis.

Un Vampire ...

Je me tenais là, debout dans une incompréhension totale, moi qui croyait être seul, j'avais donc divagué sous les yeux de quelqu'un ? Mais quelle honte, franchement, puis zut non, c'était surement suicidaire mais je m'avançais vers cette ombre au loin, loin mais si près à la fois, cette ombre me semblait étrangement moi. L'imagination, sans doutes.