Eux.
Créatures infâmes qui n’ont aucuns droits de vivre. Je n’ai jamais compris pourquoi le gouvernement nous a mis ces bêtes ici, à Londres, la plus belle ville. D’autant plus que les créatures tuent de moins en moins les humains, et de plus en plus entre eux. Je me tais, être moi-même une créature n’est pas si simple. Oui, je suis juge du conseil magique. Être juge est pour moi un honneur, mais être un Centaure c’est pas toujours facile dans la vie. En fait on peut rien faire, a pars vivre dans son monde, mais tu n’es pas en âge de savoir … Alors revenons à l’affaire du jour, affaire où je ne serai pas très tendre. En réalité, nous y avons deux affaires croisées, une affaire croisées dans le monde des centaures c’est quand il y a deux meurtres, au même moment mais pas au même endroits. Il y a donc plusieurs personnes personne à écouter. La première affaire est bien menée, un loup-garou, un vampire, un demi-vampire (morte) et un humain, personne ne sait ce qu’il vient faire là celui-là et le bouquet de bouquet, sur les terre des demi-vampires. La seconde affaire, je n’ai rien compris et j’aurais besoin d’explications. Il s’agirait de trois meurtres, de trois jeunes femmes, avec un métier que je ne mentionnerais pas et tu comprendras plus tard. Les meurtres de la même manière que Jack l’Eventreur, même genre de femme, même genre de torture. Et le plus étonnant c’est que nous avons trouvé sur le lieu du crime deux ados demi-vampire travaillant au crique, ils étaient, soit disant, en train de répéter leurs numéros quand ils ont entendu des cris de femme. Et ma fesse gauche aussi elle répétait.
L’aube se levait et moi j’étais déjà au tribunal, dans le gouvernement. Au niveau du clocher de Big Ben, c’est là que ce déroule des conseils magiques. J’étais face à ma tribune, avec mes écouteurs aux oreilles, et oui Muse, ça s’écoute partout ! Surtout leur chanson Uprising. Bon, je sais que tu me prends pour un fou, mais être juge à l’âge de vingt sept ans, c’est pas toujours très facile. Je regroupais mes papiers et observais les gens entrer dans la salle. Très peu de monde à vrai dire. Il y avait le chef des vampires, des demi-vampire, des loups-garou, quelques membres des clans, comme les lieutenants et autre. Il faut dire, les gens là n’ont pas ou plus de famille. Il y avait quatre cage, une où se tenait Alexander Lostsoul (pourquoi est-il en cage celui-là ?), une grande où se tenait Charlie Jackson, une où se postai Gaël Lagoz (alors lui, je ne sais même pas pourquoi il est là) et une où se tenait Pandora Lostsoul et Darren mais la cage là était recouverte d’une toile noire, ce qui veut dire que leurs tour viendra plus tard. Je tapai trois fois du fois du sabot, pour demander le calme dans la salle et commença mon discourt.

- Charlie Jackson, ici présente, est accusée pour meurtre de la petite amie de Alexander Lostsoul ici présent. Les faits se sont passés Jeudi, nous sommes aujourd’hui Dimanche et Ellen Spark est considérée comme morte. Nous donnons la parole à Alexander Lostsoul, qui va nous donner sa version des faits, puis viendra le tour de l’Humain Gaël Lagoz. Si je puis ajouter quelque chose avant que vous preniez parole monsieur Lostsoul… J’aimerais juste qu’on me dise pourquoi vous étiez tous sur les terres de James Green ? Merci … C’est à vous monsieur.

Je tapais une fois du sabot, pour déclarez que notre jeune Alexander Lostsoul pouvais prendre parole. Je sens bien que ce matin va être mouvementé. Pour rajouter une dose de bonne humeur à cela, une pluie diluvienne s’abattait sur Big Ben, et notre vielle horloge laissait bien sur de l’eau coulée sur notre sol. J’observai les avocats des fautifs, ils me semblaient tout aussi endormis que moi. C’est parti pour une longue matinée.

Depuis le début de ma vie, tout c’est passé beaucoup trop vite et je n’ai pas encore pris le temps de tout comprendre. Il y a parfois des choses dans la vie qu’il vaut mieux ignorer. J’aurais aimée de ne pas savoir ce que je suis réellement. Touts ses secrets que je devais garder pour moi, et ne jamais rien dire. Seul Peter sait vraiment qui je suis. Mais bon, il y a bien des choses que tu caches à ton meilleur ami toi ? Du genre, je n’ai pas dis à mon apprenti que j’étais, une bête…..

J’étais allongée là, dans cette cage si froide et si sombre. Je sentais la présence de Darren mais je ne cherchais aucun contact. J’étais figée de peur. Tremblotant dans ma cage depuis des heures, attendant peut être la fin. Au bout d’un certain temps je décidai de changer d’appuie, au lieu d’être adossé contre les parois glacées de cette cage, je choisi l’épaule de Darren pour trembler et de froid et de peur. Par chance, il avait conservé un peu de sa chaleur humaine, et son odeur d’être humain. Parfois cela fait du bien de sentir, une odeur douce et envoûtante. Je ne pleurai pas, pour être pour montrer a mon apprenti que j’étais, ou juste parce que j’avais tellement peur que mes larmes était figées à l’intérieur de mon corps. Je n’en sais rien, et je ne préfère pas savoir. Je passai mes bras autour du cou de Darren et enfouie mon visage pâle sur le cou de Darren. Cela devait être désagréable, de sentir mon souffle glacé sur son cou. Mais je pense que dans ces moments là, ont ne le sent pas. Personnellement je préfère sentir ça, plutôt que de savoir que je vais me faire tuer. Le juge annonça mon nom, mais aussi mes races. Le voile se leva et une lumière aveuglante perça mes yeux. Du bruit se fit dans l’assistance et James ouvrit grand la bouche, profondément blessé par mon mensonge. Je me levai, en tremblotant et pris parole. Mieux vaut tout raconté que de me plaindre.

•• J’étais tranquillement en train de travailler ma souplesse pour mon numéro de cirque, n’ayant aucunes autre activités vu ce que je suis. J’ai sentis une odeur bizarre, de danger. Une odeur de mort, qui se déplaçai et qui était passée devant moi sans que je puisse la voir. Je me levai et décidai d’emmener Darren avec moi, mon apprenti, pour l’initier à la chasse aux esprits. Parce que je pensai que c’était les petites choses flottante et hideuses qui se baladent dans Londres. L’odeur nous maison. Nous entrâmes et nous vîmes une humaine assassinée d’une manière affreuse. Je ne sais pas qui a fais ça. Les loups-garous ne font pas ça, les faers et les vampires non plus. Les esprits ne tuent pas de cette manière. Je me suis approchée de l’humaine, tuée à l’arme blanche. Alors nous avons été dans un autre endroit, suivant une odeur humaine, une odeur d’homme. Je ne suis pas entrer dans la seconde maison. Je voulais attraper le meurtrier. Mais à l’instant où l’odeur ne se trouvait plus dans la demeure, un hurlement jaillit deux maisons plus loin. Nous courûmes voir et nous trouvâmes une autre femme, morte, assassinée de la même manière que les deux autres. J’aurai pus nettoyer le travail commencer. Mais cela me répugnais, je n’allais manger des proies qui ne sont pas les miennes et qui servent à orner un tableau de chasse. Les policiers sont entrés dans la maison avant que nous sortions et l’enquête commença. Et qu’on nous accuse parce qu’il y a notre odeur, pardon, mon odeur de bête dans la maison. J’imagine que celle de Darren est moins, comment dire, repoussante que celle d’un loup-garou comme moi ! Je remercie fortement le juge qui a dévoilé mon secret que j’ai réussi à conserver pendant quarante ans. Merci ! Beaucoup. Et maintenant vous aller faire quoi ? Interroger Darren, nous tuer, et vous rentre compte que ce n’étais pas nous quand les meurtres continueront ?

J’étais à bout de souffle et je m’écroulais dans ma cage, sous les yeux horrifiés de l’assistance. C’était terminé, j’allais perdre tous mes amis. J’allais perdre Darren. Je le regardai, comme une jeune fille battue et désespérée. Le juge reprit parole et demanda la version de mon apprenti. James était rouge sur son siège et moi je balançai mon regard sur le sol. Ma moitié de vie, décimée en quelques secondes à peine, par un inconscient. Mes yeux se troublaient et je voyais double. Une larme tomba sur le plancher. Depuis trente sept ans, je n’ai pas pleurée. Là, je pleure ….

[ COMMENCEMENT DE L'EVENT A LA TOUTE FIN DU TROPIC, LE REEL COMMENCEMENT SERA DANS LE POST SUIVANT ]

Je n’avais plus rien à faire ici. Je pouvais enlever mes lentilles, sortirent de cette cage en me transformant et fuir à jamais mon futur. J’allais être condamnée, comme Charlie, pour rien du tout. Je comprenais Charlie mieux que n’importe qui, la lycanthropie n’est pas une partie de plaisir et la lune n’arrange en rien la transformation. Combien d’innocents ais-je tué avec la pleine lune ? Une bonne centaine au moins. Un meurtre chaque mois, un. Je m’accrochais au barreau de ma cage, les lentilles à terres, dévoilant les horribles yeux violets que j’avais fauchés à ma grand-mère. J’aurais pu faire croire que c’était livré avec ma mort, mais je suis née avec cette couleur. Je voulais aller voir Charlie, je voulais aller voir mon frère, et je voulais aller voir Darren qui était tétanisé par le fait que je sois un Lycan, peut être que c’est une réaction normale de sa part. Le juge pris parole pour la première fois depuis qu’il avait révélé mon secret à l’assemblée.

•• Mademoiselle Lostoul, merci de vous tenir. On ne va pas vous tuer. En ce qui vous concerne vous et Mr Shan la sanction devra être plus terrible que celle de Charlie. Pas de prison, ce n’est pas assez la prison pour vous. Melle Lostsoul sera étudiée lors de ces déplacements lycanthrope et Mr Shan sera comme son mentor nourri par nos propres soins. Ce qui veut dire que vous n’avez AUCUNS droits de vous approcher d’un humain pour vous nourrir. On vous fournira assez de sang pour pas que vous mourrez et au bout d’un certain de torture on verra bien. C’est peut être dégueulasse mais c’est qui est écris sur le papier ! Heu… Mademoiselle ?

Il y avait de bonnes raisons de s’inquiéter pour moi. La truffe, enfin le nez, en l’air, reniflant désespérément, tournant dans ma cage comme une bête. L’odeur était partout, je n’arrivais à la trouver, je savais juste qu’elle était là haut, quelque part. Là j’avais peur, ce n’était pas les petites bêtes de Londres. C’était lui, et rien que lui. Je reculai dans ma cage et commençai à paniquer comme n’importe qui. Quelqu’un d’autre là senti ? Charlie peut être ? Je ne la voyais plus, je ne voyais plus rien. Mon corps trembla. Un demi vampire qui à peur d’un humain… J’ouvris ma cage comme une brute avait lui avoir donnée un bon coup de dent et hurla à l’assemblée.

•• Cassez-vous ! Il est là !

Personnellement, je ne cherchais même pas à savoir si il était vraiment là, si l’assemblée avait pris compte de mon avertissement. J’avais laissée Darren dans cage et je couru vers mon frère. Il bondit, il était là, près de nous. Dans mon instinct de bête, mon corps se transforma en une énorme bête grise. J’ai mal, ça y est. Mes membres démesurés courraient vers ce qui devait être mon frère. La pagaille, mais quelle pagaille. Le juge lui-même était parti de son trône et avait laissé son portable ! Quelle horreur, il n’a pas prit son portable d’amour xD

La mort n’est qu’une action comme les autres qui nous fais peur et qui joue sur tout le monde ici. La Mort, tu sais déjà que c’est mon prénom, le mien est rien qu’à moi. Notre vie c’est comme la philosophie, sa sert à rien sauf à poser des questions des inutiles. Tu es le pauvre humains qui va se demander qui il est, qu’est-ce qu’il fait ici, pourquoi il est ici. Moi je suis capable de répondre à vos questions, la mort est la réponse à tout. Tu est toi, tu es ici pour mourir parce que c’est ton destin, tu es ici parce que vis ici et pas ailleurs. Et si tu n’es pas heureux de mes réponses, meurs dans le noir infini de la nuit. Je sais qu’il y a des gens qui n’ont pas peur de la mort, qu’ils ont peur de la douleur. Et bien moi je vais leurs donner envie de mourir, avec la douleur, la douleurs des mots, la douleur des gestes.

Un voile de brume couvrait mon corps, me permettant de circuler librement entre les piétons, les regardant frissonner à chaque fois qu’il voyait mon triste visage, torturer par la vie, alors que mon âme elle est intacte grâce à la mort. Il y avait devant moi, cette belle créature. Son âme pleine de pureté et de grâce, ma divine déesse, ma Big Ben à moi. Je suis peut être possessif, mais tu seras aussi qu’il n’y a pas que cela. Je venais pour reprendre ce qui m’appartenait, et personne n’avait le droit de m’en empêcher car personne ne ce met en travers de la Mort avec un grand m majuscule.

J’étais là, sur une poutre, écoutant ce conseil minable depuis des heures. Ce centaure semblait être vraiment intéressé par le conseil, tellement qu’il bidouillait son portable. La jeune Lycanthrope blonde semblait avoir un caractère trempée et l’autre brune aussi. Le pauvre petit humain avait l’air d’être totalement perdu et l’apprenti était en train de croupir dans sa cage. Le vampire avait pété son câble et l’assemblée était agitée. Parfait pour attaquer. Tout était parfait, sauf au moment où la brunette de Lycan m’avait repéré. Elle sortie de sa cage, totalement tétanisée et moi je manquais de tomber de rire. Elle lança l’alerte et moi je bondis de ma poutre et atterris sur la cage de l’humain, pétant le cadenas sous mon poids. Je me mis debout sur sa cage. J’étais vêtu de ma cape noir, et j’apporté avec moi ma faux. Panique générale et blablabla tout le monde court. Je trouve ça pitoyable qu’ils fassent autant de mal à ma Big Ben chérie avec leurs tapements de chaussures sur ces belles planches de bois délabrées. Ha… la Mort.

Et là Dark Vador bondit au sol en fessant trembler la terre sous son poids d’anorexique et éternel asmathique. Il voulut balancer son éternelle phrase de Luc je suis ton père, mais manque de peau, ce petit crétin ne s’appel pas Luc, et merde. COUPE ! On l’a refait, y’a un bug dans l’assistance, la lycanthrope brune est partie à gauche, là où les poutres sont branlantes alors qu’elle devait partir à gauche et se retrouver face aux Droïdes maléfiques. Le jeune homme en face de moi me sortie une de ces phrases débiles d’humains, une phrases où en réponse tu ne peux pas dire Galette je suis ton four ! Nan. Alors, vide d’expressions, et puis même si je souriait, on ne peut pas voir la mort, je levai ma faux en l’air, fit un rire sarcastique histoire que tout le monde se casse et pris délicatement avec ma lame le couler de morve sur l’épaule de l’humain. Je ne tue pas hommes, je ne tue pas les femmes je tue les gentilles petites prostituées sans défenses teintes en blonde. J’aime pas le jaune, chui allergique à la paille.

Et là Dark Vador le fils de … Merde il s’appel comment le père de Annaking ? ( Bah oui, c’est le roi des Anna ) Fin bref, je me retournais, bondis un peu partout, donnant des coups de faux par ci par là et oups. La tête du juge vola dans la salle. J’ai pas fais exprès. Et puis tant mieux, lui qui voulait un fils, manque de peau c’est une fille. Je continuai mon ascension très dangereuse vers la blonde et sauta par-dessous en criant « I Believz *kof kof* I can Fly !! ». Ouais je suis aussi asmathique de Darky’. Je volais vers les précieuses à présents toutes moches et sanglantes et les leva devant l’assemblée. J’enlevai ma capuche et là au grand étonnement de tout le monde … Rien ! Et oui la mort n’a pas de visage. Je remis mon chaperon rouge, non noir, et … et … Lévitai de l’autre côté de la salle, laissant couler le reste de sang sur l’assemblée. C’est marrant, c’est joli.

Y’a maître Yoga qui m’appel, bye les mortels, je me casse, mais je reviens tout de suite. Je partis brusquement vers le haut, déposai les trois femmes sur une poutres mais manque de peau, elle tombèrent et s’écrasèrent sur la foule de gens qu’il y a en bas. Pas grave. Je resurgis du haut de ma poutre et hurlai un grand Bouh pour m’éclater. Sa marche tellement bien. Je m’approchai d’un pauvre demi-vampire qui était encore choqué par je ne sais quoi. Il était condamné à ma place, nanananèreeee. Bon aller assez jouer. On se casse ? Nan j'ai une bien meilleure idée. Je flottais au dessus de la lycan déjà transformée, la brune.

- C'est toi, toi qui à tuée ces femmes sans raisons.